A peine revenu de son Vendée Globe, le navigateur Maxime Sorel pensait déjà à un prochain défi : celui de gravir l’Everest !
A 35 ans, le Breton Maxime Sorel passe le plus clair de son temps en mer. Après des années de courses, il a pu se joindre à l’une des plus prestigieuses. Le Vendée Globe. C’était en 2020 et il terminait la course en 10ème position. L’ « Everest des mers » comme il se plait à l’appeler. Depuis 2019, il est également parrain de l’association Vaincre la Mucoviscidose. Il a déjà porté les couleurs de cette cause sur les océans, notamment pendant les 82 jours de course en solitaire lors du Vendée Globe. Désormais, c’est au sommet de l’ « Everest des terres » qu’il voudrait planter le drapeau de l’association.
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Maxime Sorel à l’Everest, un marin à 8.849 mètres ?
Le marin a déjà un peu le pied montagnard avec quelques expériences en altitude, comme récemment sur le Kilimandjaro. « J’ai très peu d’expérience » explique-t-il mais celui pour qui « rien n’est impossible » a encore près d’un an pour se préparer. L’expédition est fixée au printemps 2023. Pour lui, l’Everest est très symbolique. Avec son engagement « auprès de l’association Vaincre la Mucoviscidose, j’ai toujours fréquenté des malades et toujours voulu mieux comprendre le fait de manquer d’oxygène. C’est le cas en altitude ». Et sur l’Everest, il va clairement manquer d’oxygène et ce dès le camp de base situé à environ 5.300 mètres. Petit clip pour illustrer son projet ci-dessous, vous apprécierez le mélange d’images de mers et de montagne.
Illustrations © Pixabay