En 2010, Greg Hill se vantait quelques 610 kilomètres de dénivelé (10 millions de pieds). Pendant des années, il a enchaîné ce type de record, grimpant avec ses skis de randonnées et descendant des kilomètres et des kilomètres… Pour relever ce type de challenge, il parcourait le monde. Une année, il a compté quelques 34 vols longs-courriers… Dans un nouveau défi, il a décidé de gravir 100 sommets sans dégager le moindre gramme de CO2. Une manière de se rattraper ?
Pour réaliser une telle prouesse, pas d’hélicoptère, pas de motoneige, pas de voiture diesel… une voiture électrique, un vélo, des chaussures et bien sûr ses skis de randonnées. « Si je peux faire çà, c’est pas un coup de chance, c’est vraiment possible de monter à bord » et de pratiquer le sport que l’on veut sans abîmer la planète.
Et quand on troque un énorme 4×4 diesel contre une petite citadine électrique, on n’a pas fini de manier la pelle pour dégager sa voiture des pires ornières à la moindre chute de neige. « il y a peut être d’autres manières de faire les choses, on peut partir à l’aventure mais de façon plus durable » explique Greg Hill. Ces 100 sommets se situent en Amérique du Nord : du Mount Rainier au Mount Athabasca en passant par le Mount Hood…
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Illustration © Salomon TV
Je rêve où il porte un anorak en plastoc ?
Pas très cohérent quoi…
Puis une voiture électrique, faut bien la recharger avec de l’électricité produite par…des usines nucléaires, des mines de charbon. Bref tout sauf zéro CO2. Projet et article à revoir…
En Allemagne une voiture électrique pollue plus qu’une voiture thermique… En France ce sont des voitures nucléaires.
Il faut donc arrêter de voir l’électrique comme une énergie de ressource. Cela n’existe pas.
Vous avez raison, l’électricité vient bien de quelque part. L’athlète en question essaie de démontrer à sa manière que des changements de comportements sont possibles. Et ça c’est encourageant ! #dimanchepositif